mardi 22 septembre 2015

MALADIES CARDIO-VASCULAIRES

8 conseils pour se protéger de l'accident cardiovasculaire

L. D. Publié le - Mis à jour le
Sciences - Santé Devant le cancer, les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité chez la femme occidental. À l'occasion de la semaine du coeur, il est bon de rappeler les signes précurseurs et quelques conseils de prévention.
1. Arrêtez de fumer. Le tabac est un facteur de risque pour le rétrécissement de vos artères, aussi bien au niveau du cœur que du cerveau.
2. Mangez sainement . Mangez varié, moins de graisses, moins de graisses saturées, plus de fibres et 400 g de fruits et légumes par jour.
3. Surveillez votre poids. Evaluez votre surpoids d’une manière adéquate : mesurez votre IMC (indice de masse corporelle). Il se calcule en divisant le poids (en kg), par la taille au carré. Exemple : je mesure 1,70 m et pèse 65 kg. IMC = 65/(1,7)² = 22,5. Normal : > 20 et < 25 ; surcharge pondérale : > 25 et < 30 ; obésité : > 30. Mesurez votre tour de taille. Parlez-en à votre médecin si votre tour de taille est égal ou supérieur à : 80 cm pour la femme.
4. Surveillez votre pression artérielle. En cas d’antécédents personnels et aussi pendant la grossesse. Mais aussi à chaque visite chez votre médecin et régulièrement à partir de 55 ans.
5. Soyez physiquement actif. 30 minutes de marche par jour protègent déjà votre cœur et vos artères.
6. Ménagez votre stress ! Trouvez un équilibre entre périodes actives et moments de détente et de relaxation. Privilégiez un sommeil de qualité.
7. Antécédents. Tenez compte des antécédents familiaux de maladies cardiovasculaires : si un proche a présenté un infarctus ou un AVC ou en est décédé, considérez que vous avez a priori un facteur de risque.
8. Symptômes. Ne sous-estimez pas les symptômes d’une crise cardiaque ou d’une attaque cérébrale. Apprenez à les reconnaître. (Voir l’infographie)
Morbidité et mortalité dues aux maladies cardiovasculaires et le Sida - Thérèse N’dri Yoman exhorte au changement de comportement…
Publié le mardi 4 octobre 2011   |  Le Mandat
Madame le MINISTRE DE LA SANTE en présence des responsables de l'ACPCI et du SYNAMEPCIPhoto: DR K Kouakou
A l’instar des autres pays du monde entier, la Côte d’Ivoire a célébré, le samedi 1er octobre dernier, la Journée mondiale du cœur sur le thème ‘’un domicile, un cœur’’. Et c’est le terrain d’entraînement de l’Asec Mimosas, Sol Béni, qui a servi de théâtre à cette importante cérémonie au cours de laquelle, le Prof. Thérèse N’Dri Yoman, la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, a profité pour tirer sur la sonnette d’alarme. Elle en a profité pour exhorter les populations à « pratiquer des gestes simples qui sauvent ». Elle a demandé aux uns et autres, « de bannir le tabagisme, d’opter pour une alimentation saine, d’être actifs, et de se renseigner sur leur tension artérielle, leur glycémie, leur cholestérol et leur indice de masse corporelle ». Au cours de cette journée organisée en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et en partenariat avec la Fondation de la maladie du cœur, présidée par Mme Gouédan Fatou Diarra, le Prof. N’dri Yoman a demandé à chaque habitant d`être l`avocat de son domicile pour la santé du cœur, de faire observer les règles simples de vie et de prévention primaire des maladies du cœur, dans l’optique d’évaluer les risques cardiovasculaires puis de développer des actions spécifiques et des comportements adaptés dans des domiciles pour améliorer la santé cardiaque. Notons que la Fondation de la maladie du cœur de Mme Gouédan Fatou Diarra qui est à l’origine de cette deuxième édition de la journée de l’activité physique organisée en marge de la Journée internationale du cœur, s’est donnée pour mission, de réduire de façon significative, selon la première responsable de la santé, « la morbidité et la mortalité dues aux maladies cardiovasculaires à travers des actions de proximité ayant pour cible toutes les couches sociales ».

… et lance l’offensive contre le Vih ce matin
Après la poliomyélite, dont le lancement de la campagne nationale de vaccination a été lancé le vendredi 30 septembre dernier, à Grand-Bassam, le Prof. N’Dri Yoman, ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, attaque, ce matin le Vih-Sida. Et c’est à l’espace Mathieu-Ray, près de l’église catholique Saint Etienne dans la commune de Koumassi, en présence de Mme Dominique Ouattara, Première Dame de la Côte d’Ivoire, que se déroulera le lancement officiel de la semaine de lutte contre cette pandémie du siècle. Le Sida, il faut le dire, constitue aujourd’hui, en Côte d’Ivoire, la première cause de mortalité chez les hommes adultes et la deuxième chez les femmes. Ce qui est le plus alarmant, c’est le nombre de personnes qui vont être atteintes de cette maladie dans les 10 et 15 prochaines années. En 1993, le Programme national de lutte contre le Sida a estimé que 9,8% de la population âgée de plus de 15 ans était séropositive, ce qui signifie que plus de 600 000 adultes seraient susceptibles d’avoir contracté le virus. Les jeunes d’âge scolaire sont également menacés par la pandémie. Une étude faite en 1993, au sein des collégiens de trois zones urbaines du pays, a donné des chiffres alarmants : 6,5% d’entre eux étaient séropositifs. Aujourd’hui, le taux de prévalence de la population générale oscille entre 10% et 12%, faisant de la Côte d’Ivoire, le pays le plus touché de la sous-région, et l’un des pays les plus touchés en Afrique au Sud du Sahara. Les ravages que le Vih cause sur la population active étant énormes, le gouvernement a donc décidé de passer à la vitesse supérieure. D’où la cérémonie de ce matin.

JULES CESAR 

1 Belge sur 10 souffre de diabète

BELGA
Mis en ligne le 12/11/2011
Il s'agit principalement de diabètes de type 2.
Un million de Belges souffrent de diabète ou risquent de souffrir de cette maladie s'ils ne changent pas leur mode de vie, indique samedi l'association flamande du diabète (VDV) dans Het Nieuwsblad. L'association se base sur des chiffres du SPF Santé publique. Le SPF a lancé il y a un an et demi un projet dans douze hôpitaux: toutes les personnes admises dans un de ces hôpitaux font automatiquement l'objet d'un dépistage du diabète. Près de 15% d'entre elles semblent souffrir de diabète ou pourraient devenir diabétiques à court terme.
Il s'agit principalement de diabètes de type 2, appelé également diabète gras ou de la maturité, qui peut causer des problèmes cardiovasculaires, ainsi que des troubles oculaires et des lésions aux reins. "Le risque est accru pour les personnes sédentaires, en surpoids et plus âgées", explique Stijn Deceuckelier de la VDV.
"Il s'agit justement des trois facteurs qui ont tendance à se généraliser: la population ne cesse de vieillir, nous bougeons moins et le nombre de personnes en surpoids est en constante évolution", conclut-il.

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