À propos de Dr KOUAME KOUAKOU

Je suis arrivé à l’école NATIONALE DE STATISTIQUE ET DE L’ÉCONOMIE APPLIQUÉE (ENSEA)en 1995 où j'ai occupé le poste de médecin d'entreprise; soit prendre en charge médicalement l'ensemble du personnel.
Vingt ans après , amené par KOFFI N'GUESSAN , JE SUIS DÉSORMAIS MÉDECIN DE TOUT LE PERSONNEL ET DE L'ensemble des étudiants et stagiaires.
en plus depuis 2001  Je suis désormais CHARGE DE COURS DE GESTION DES PROGRAMMES DE SANTÉ.
 Cela va faire 20 ans que je suis la vie de l'ENSEA en tant que MÉDECIN.

 Je suis aussi la vie d'autres entreprises telle que la SIIP , qui était anciennement CLUB SOCOCE puis ESPACE LATRILLE. là bas l'aventure a débuté  en 1997, ou le DR FARAN SALAME m'y a appelé pour lui donner un coup de main.

Ces deux structures ont jouées un rôle central dans la construction de ma vie professionnelle. En effet ayant été le tout premier président de l'Association des Jeunes Médecins Ivoiriens  (AJMI) , comme je m'y attendais j'ai pris énormément des coups, et n'eut été certains personnes exceptionnelles ma carrière professionnelle se serait déroulée autrement.

le Dr BASSIT ASSAD, fut l'un des premiers à m'avoir adopté et m'a formé à l'exercice médicale au privé. Ce qui explique pourquoi tout ceux qui s'en prenaient à moi, m'accusaient d'abord, d'être  "l'homme des LIBANAIS" (à suivre....)
Plaidoyer pour  les deuxièmes états généraux de la santé en Côte d’Ivoire



Le débat sur le système de santé, suscité par le décès d’une jeune mannequin au Chu Cocody qui  n’est pas à sa première « crise »  du genre, ne laisse pas indiffèrent. Il faut croire que tous ces épisodes n’ont contribués à rien, puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets. S’attaquer ou défendre les services d’urgences et les Chu me paraît une mauvaise approche. En réalité nous devrons débattre pour agir et non pour interpréter (la suite dans fraternité matin du samedi 12 avril 2014)



 

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