FORMATIONS RECENTES



Les agents de l`Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d`Economie Appliquée (ENSEA) se forme au digital

Société Renforcement des capacités: 
 
Publié le 4 decembre 2017 | Abidjan.net |  Photographe : DA | Photo N˚477775

Lundi 4 Décembre 2017. Sous la houlette de KOUADIO Hugues, Directeur de l`Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d`Economie Appliquée (ENSEA), une dizaine d`agents ont reçu une formation sur l`utilisation des outils du numérique. La formation a été assurée par L`ISTC Polytechnique.


 https://news.abidjan.net/p/477774.html

FORMATION EN PLANIFICATION FAMILIALE
YAMOUSSOKRO  DU 08 AU 19 NOVEMBRE 2015









Atelier de mise à niveau des connaissances des praticiens des établissements de santé des universités et grandes écoles leurs hôpitaux de référence pour l’utilisation des outils de gestion du panier de soins de la CMU

Dabou, le 18 septembre 2015







SYNTHESE DE L’ATELIER DE  formation DES PROFESSIONNELS
DES services de santé des universités, grandes écoles et hôpitaux de référence à L’UTILISATION DES OUTILS DE GESTION DU PANIER DE SOINS pour LA couverture maladie universelle
Dabou, 15 au 18 septembre 2015



Du 15 au 18 septembre 2015 s’est déroulé à l’hôtel AKPARO de Dabou, le premier atelier de mise à niveau des connaissances des praticiens des établissements de santé universitaires et des grandes écoles et leurs hôpitaux de référence, pour l’utilisation des outils de gestion du panier de soins dans le cadre de la couverture maladie universelle.
L’atelier a été organisé par le Ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida (MSLS) avec l’appui de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM).
Cet atelier a réuni 31 praticiens des services sanitaires des aires ciblées pour la phase pilote de la CMU dans le district d’Abidjan. Il s’agit de médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, infirmiers, techniciens de laboratoire, issus des services médicaux des Ministères en charge de la santé, des affaires sociales, du plan, de l’enseignement supérieur, de la communication et de la culture.
L’équipe d’organisation était composée de sept facilitateurs membres du Comité technique du MSLS chargé de la mise en œuvre de la CMU et trois agents dudit ministère et de la CNAM.
L’ouverture a été faite par Dr OUATTARA Siguifota, représentant Madame la Ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, en présence de Dr KOUYATE Karim représentant le Directeur général de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie. Dr KOUYATE a insisté sur l’urgence de la mise en œuvre du projet pilote de la CMU et Dr OUATTARA Siguifota sur la nécessité d’appropriation des outils élaborés pour la gestion du panier de soins.
L’objectif général de l’atelier était de contribuer à une mise en œuvre harmonieuse de la Couverture Maladie Universelle par une offre de soins de qualité. Il avait deux objectifs spécifiques :
1)  Le premier était de mettre à niveau les connaissances des praticiens des services de santé scolaire et universitaire et de deux hôpitaux de référence d’Abidjan, sur l’utilisation des outils de gestion du panier de soins dans le contexte de la CMU ;
2)  Le second était de sensibiliser les professionnels de santé pour une mise en œuvre harmonieuse de la CMU et une offre de soins de qualité.
Les travaux proprement dits ont été encadrés par un pré-test et un post-test. Ils se sont déroulés en séances plénières et en groupes, selon les sessions suivantes : l’architecture de la CMU, l’offre de soins pour la CMU, le panier de soins et ses référentiels de gestion, la dixième version de la classification internationale des maladies (CIM 10), la nomenclature générale des actes de médecine et de biologie de Côte d’Ivoire (NGAMBCI), la codification des médicaments, la codification des établissements sanitaires, le remplissage de la feuille de soins et la gestion des données générées par la CMU.
Au vu des résultats de l’évaluation finale, cet atelier a été profitable puisque la  progression des participants a été remarquable.
Il faut signaler que l’atelier a bénéficié de la visite de M. KONE Mamadou, directeur des affaires administratives de la CNAM, qui a encouragé les participants.
Laprincipale recommandation porte sur l’harmonisation du cadre institutionnel pour la mise en œuvre de la CMU, compte tenu de la diversité des statuts des établissements de santé des universités et grandes écoles.
Les participants ont adressé leurs remerciements aux formateurs issus du Ministère de la Santé et de la Lutte contre le sida pour la qualité des enseignements.
La cérémonie de clôture a été présidée par la représentante de Madame la Ministre de la Santé et de la Lutte contre le sida, Dr Eliane EKRA, Chef de Cabinet du Ministre de la Santé et de la Lutte contre le sida. Des attestations ont été remises à tous les participants.

Fait à Dabou, le 18 septembre 2015

L’atelier.


MA FORMATION sur la prévention du VIH/SIDA organisée par le PNSSU
Santé
Bouaké / Le PNSSU organise un atelier de formation sur la prévention du VIH/SIDA en milieu scolaire et estudiantin
Publié le lundi 16 juillet 2012   |  Ministères


PNSSU:
© Ministères par DR
PNSSU: Dr Karim Kouyaté s’imprègne des réalités des services de santé scolaire et universitaire d’Abidjan
Jeudi 19 avril 2012. Abidjan. Le nouveau Directeur Coordonnateur du Programme National de Santé Scolaire et Universitaire (PNSSU), Dr Karim Kouyaté a organisé une visite terrain dans le district d’Abidjan pour se rendre compte des réalités des médico-scolaires et universitaires.

Le Programme National de la Santé Scolaire et Universitaire (PNSSU), avec l’appui financier du Fonds des Nations Unies pour la Population organise depuis ce lundi dans un grand hôtel de Bouaké, un atelier de formation sur la prévention du VIH/SIDA dans le cadre de l’intégration du Conseil de dépistage à l’initiative du prestataire (CDIP), au sein des centres de santé scolaire et universitaire.

Lors de la cérémonie d’ouverture, Dr Karim Kouyaté, Directeur Coordonnateur du PNSSU a expliqué les enjeux de cet atelier qui réunira 22 prestataires jusqu’au samedi 21 juillet prochain.

Selon lui, pour apporter une réponse à la problématique que constituent les IST /VIH/sida en milieu scolaire et universitaire, l’une des approches en termes de stratégies consiste à intégrer les activités de conseil et dépistage à l’initiative du prestataire dans les services de santé scolaire et Universitaire (SSSU).

‘’La prise en charge des IST /VIH/sida chez les élèves et étudiants, l’offre du conseil et dépistage volontaire qui constituent des portes d’entrée de la prévention et la prise en charge du VIH, demeurent l’un des principaux défis à relever par les structures de prise en charge médicale des élèves et étudiants’’, a-t-il estimé en justifiant cet atelier par le renforcement des capacités des différents prestataires des SSSU à la prévention du VIH/sida en milieu Scolaire et Universitaire.

Cette prévention du VIH/sida en milieu Scolaire et Universitaire contribuera à réduire non seulement les cas de nouvelles infections, mais aussi assurer une meilleure prise en charge des PVVIH des différentes populations cibles (élèves, étudiants, enseignants, éducateurs, personnel administratif) du système éducation/formation.

En Côte d'Ivoire, la prévalence du VIH chez les jeunes de 20 à 24 ans est de 2,5% avec une prédominance chez les filles (4,5%) sur les garçons (0,3%). Plus de la moitié des nouvelles infections se produit aujourd’hui chez les jeunes et les adolescents (EIS, 2005).

Les principaux facteurs de risques en matière de santé de la reproduction sont la précocité des premières relations sexuelles, la multiplicité des partenaires, les comportements sexuels à haut risque, et l’insuffisance d’information des services de santé de base.

Les adolescents et les jeunes de 15 à 24 ans dans leur majorité (52,1%) sont sexuellement actifs. L’âge moyen au premier rapport est de 16,25 ans dans l’ensemble soit respectivement 16,4 ans chez les garçons et de 16,2 ans pour les filles. La jeune fille en particulier a une activité sexuelle plus précoce que le jeune garçon.

En effet, 36,8% des filles sexuellement actives ont eu leur premier rapport avant l’âge de 16 ans. Cette proportion est évaluée à 32,7% chez les garçons (ENSEA 2005).

L’exposition des jeunes à plusieurs partenaires contribue négativement à leur morbidité et mortalité. 42,1% des jeunes ont des partenaires multiples. La consommation des produits excitants entraîne chez les jeunes en général, et en particulier les scolarisés à expérimenter les comportements sexuels à risque, tel que les rapports sexuels non protégés, le multi partenariat sexuel. (ENSEA, 2005).

En milieu scolaire, ce sont 3193 cas de grossesses et 8063 cas d’IST enregistrées au cours de l’année scolaire 2010-2011, avec son corollaire des risques d’infection à VIH.

Source : Service de Communication du PNSSU http://news.abidjan.net/h/437353.html

Santé
Bouaké / Dépistage volontaire du Vih/Sida en milieu scolaire et universitaire: 25 praticiens en séance de formation
Publié le mardi 17 juillet 2012   |  Ivoire-Presse


Santé
© Ministères par DR
Santé Scolaire et Universitaire : le Directeur Coordonnateur du Programme National de Santé Scolaire et Universitaire : Dr Karim Kouyaté a visité les infirmeries des grandes écoles de Yamoussoukro
Mercredi 25 avril 2012. Yamoussoukro. Le Directeur Coordonnateur du Programme National de Santé Scolaire et Universitaire (PNSSU), Dr Karim Kouyaté a visité les infirmeries des grandes écoles de la capitale politique et administrative

Selon les statistiques du programme national de la santé scolaire et universitaire, les données sur le Vih/Sida sont alarmantes dans les rangs des élèves et étudiants. 2, 8 % des personnes infectées au plan national, sont des élèves ou étudiants. Face à cette situation critique, Kouyaté Karim, coordonnateur national dudit programme, a décéidé d'intensifier la lutte sur d'autres domaine. Entre autre, le conseil dépistage à l’initiative du prestataire, (Cdip). A son initiative, depuis lundi, 25 médecins, infirmiers et autres personnels de santé œuvrant dans le milieu scolaire et universitaire sont réunis dans un atelier de formation à Bouaké, pour s’approprier les rudiments du Cdip. « Pour apporter une réponse à cette problématique des Ist-Vih/Sida en milieu scolaire et universitaire, l’une des stratégies consiste à intégrer les activités de conseil et dépistage à l’initiative du prestataire. A ce titre, la disponibilité du conseil et dépistage volontaire qui constitue des portes d’entrées de la prévention et la prise en charge du Vih, demeurent l’un des principaux défis à relever par les services de santé scolaire et universitaire. Il s’agira également du 16 au 21 juillet de renforcer les capacités des personnes qui travaillent dans ce milieu. En matière de tout ce qui est prévention et prise en charge en milieu scolaire et universitaire », a informé Dr Kouyaté Karim. Durant six jours, les praticiens, poursuit-il, seront formés « l’information sur le Vih/ Sida. Ensuite, il y a tout ce qui est arsenal de prévention, nous encourageons les praticiens à pouvoir introduire dans leurs activités, toutes les notions liées au Vih/Sida.



Ensuite, les amener en mesure de donner de l’argumentaire pour pouvoir convaincre les élèves et les étudiants à effectuer de façon volontaire leur dépistage ». Pour sa part, Dr Koffi N’Guessan le directeur régional de la santé et de la lutte contre le Sida a exhorter les praticiens à tout faire pour protéger les élèves et étudiants contre la terrible maladie. Car, la Côte d'Ivoire a besoin de ressources humaines en bonne santé pour relever les défis du développement et de la croissance économique.

Edgar Kouassi,
d'apres une correspondance particulière à Bouaké

http://news.abidjan.net/h/437421.html 

Trente ans d'avancées scientifiques contre le sida

Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 
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Le VIH, virus responsable du sida, a été isolé en 1983.

La possibilité de mettre fin, un jour, à la pandémie du sida, voire d'éradiquer le virus responsable de l'infection, est au cœur de la 19e conférence internationale sur la maladie, qui s'est ouverte dimanche 22 juillet à Washington et se termine vendredi 27 juillet.

En 1983, les chercheurs isolaient le VIH. Trente ans de recherche plus tard, les scientifiques ont acquis une connaissance poussée de ses mécanismes et ont développé des traitements qui permettent de diminuer la mortalité et les contaminations.

  • Une décennie de traitements antirétroviraux
Plus de 8 millions de personnes contaminées par le virus du sida prenaient des antirétroviraux fin 2011 dans les pays en développement, un nombre record, en hausse de 20 % sur 2010, selon l'Onusida. "Une décennie de traitement antirétroviral a transformé l'infection du VIH (virus de l'immunodéficience humaine) d'une sentence de mort à une maladie chronique gérable", se félicite le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon dans une introduction au rapport intitulé : "Ensemble nous mettrons fin au sida" (PDF).
Les combinaisons de médicaments antirétroviraux, apparues en 1996, ont sauvé environ 700 000 vies dans le monde en 2010, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Ils permettent aussi de réduire significativement les risques de contaminations, notamment de la mère à l'enfant.
Les antirétroviraux actuels sont moins toxiques, plus efficaces et moins susceptibles de déclencher une résistance du virus que les précédentes générations. Un bémol cependant : ces traitements se heurtent à une résistance croissante dans plusieurs régions d'Afrique, selon une étude publiée lundi 23 juillet dans la revue médicale britannique The Lancet.
  • Truvada : un traitement préventif qui fait polémique
La recherche fonde de grands espoirs sur les résultats récents d'essais cliniques révélant que des antirétroviraux permettent de réduire fortement le risque d'infection et de transmission des personnes séronégatives ayant des relations sexuelles risquées. Un traitement préventif à l'antirétroviral Truvada, avec une prise quotidienne de pilules, est efficace à plus de 90 %, selon un essai réalisé en 2010. Depuis, de nouvelles études sont venues confirmer ces résultats, bien que l'efficacité chute à 44 % si le médicament n'est pas pris tous les jours.
Le Truvada devrait arriver sur le marché aux Etats-Unis, l'agence américaine des médicaments (FDA, Food and Drug Administration) ayant donné son accord le 16 juillet. Mais il fait polémique et inquiète médecins et militants d'associations de lutte contre le sida. Ils redoutent notamment qu'un sujet séropositif prenant le Truvada soit moins vigilant sur le risque qu'il transmette le virus et qu'il n'utilise pas systématiquement un préservatif. En France, ce médicament est utilisé depuis janvier 2012 dans le cadre de l'essai Ipergay (Intervention préventive de l'exposition aux risques avec et pour les gays).
Dans un communiqué mis en ligne mardi 17 juillet, Act Up-Paris a donc jugé"précipitée" la décision de l'agence américaine. Selon l'association, il existe "une reproductibilité très incertaine de ces résultats". Elle pointe aussi du doigt de possibles conflits d'intérêts. "Laisserons-nous encore longtemps les lobbys du médicament dicter leurs règles à notre communauté, au mépris de notre santé ?", interroge l'association.
  • Le cas du "patient de Berlin" ou la transplantation de moelle
Le "patient de Berlin" est le seul malade au monde qui semble avoir complètement été guéri du Sida. En 2007, Timothy Brown, un américain qui vivait avec le VIH, soigné pour une leucémie, a reçu une transplantation de cellules souches de la moelle osseuse provenant d'un donneur qui fait partie des personnes naturellement résistantes à l'infection. M. Brown a alors cessé son traitement antirétroviral. Depuis cinq ans, il ne présente aucun signe biologique d'infection."C'est la preuve qu'arriver à éliminer le virus du corps est quelque chose de réaliste", a indiqué le prix nobel Françoise Barré-Sinoussi, présidente de l'International AIDS Society (IAS). 
En moyenne, 30 % des patients ne survivent pas à une greffe de moelle osseuse. Cette solution ne peut donc pas constituer en pratique une solution à grande échelle. La directrice de l'étude, Kristina Allers, qui reconnaît que la procédure ne peut être répétée sur la plupart des patients, explique que "le prochain défi sera detransposer notre découverte dans des formes de traitement moins dangereuses".
  • Vers un vaccin contre la contamination 
Le premier essai clinique étendu avec un vaccin expérimental contre le virus du sida, mené en Thaïlande sur plus de 16 000 adultes en 2010, a fourni d'importantes informations sur les réponses du système immunitaireSelon les estimations révélées en 2009, 31,2 % des participants ayant été vaccinés avec ce produit baptisé RV144 avaient nettement moins de risques d'être infectés par le VIH que le groupe traité avec un placebo. La principale découverte porte sur le fait que des anticorps spécifiques à une zone particulière de l'enveloppe du VIH, appelée V1V2, sont liés à des taux d'infection plus faibles chez les vaccinés. Selon l'hypothèse avancée par ces virologues, ces anticorps se lient à la zone V1V2 de l'enveloppe du virus, ce qui empêcherait l'infection en bloquant sa réplication.
  • Une protéine efficace contre la réplication du VIH
Deux équipes médicales des universités de Strasbourg et de Marseille-II ont, elles, mis au jour les propriétés inhibitrices de la protéine humaine HBPB (HumanPhosphate Binding Protein) sur la réplication du VIH, une étape dans la multiplication du virus. "Les résultats obtenus in vitro montrent que cette protéine agit sur une voie encore non ciblée par les thérapies actuelles", ont souligné les scientifiques.
Une découverte d'autant plus importante que cette protéine est aussi efficace sur les souches classiques du virus que sur les souches résistantes à l'antirétroviral AZT (le premier médicament utilisé contre le VIH). Les perspectives sont très prometteuses. Toutefois, l'utilisation à grande échelle de cette protéine ne pourra pas se répandre avant plusieurs années, le temps de mener à bien tous les tests, d'abord sur des animaux, puis sur des patients volontaires.

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