Longtemps mal connu, le liquide vital a été au
cœur de pratiques médicales hasardeuses, comme la saignée. Jusqu’à la
découverte de la circulation sanguine au début du XVIIe siècle. Suite de
notre série sur l'histoire sanglante de la chirurgie
Longtemps marginalisée par le reste du corps
médical, la chirurgie esthétique se pratiquait déjà à l’Antiquité. Elle a
toutefois pris son essor dans les années 1920 en Europe, sans que
beaucoup de contrôle ne soit exercé sur la pratique
Bien avant que ne soient réunies médecine et
chirurgie, les opérations étaient pratiquées dans les échoppes des
barbiers. Point d’anesthésie, mais des acolytes solides et des sangles
serrées pour maintenir les patients en place. Et ça fonctionnait plutôt
bien
Détruire une zone cérébrale pour venir à bout
d’une maladie mentale, c’est le principe de cette intervention, dont
l’invention fut récompensée par un Prix Nobel. Elle était assez courante
dans les années 1950, mais transformait souvent les patients en légumes
Dans les années 1950, la compétition faisait rage
pour savoir qui parviendrait à réussir une telle intervention. Pour y
arriver, les médecins n’ont pas hésité à expérimenter des techniques
pour le moins particulières
Considérée jusqu’au XIXe siècle comme un événement
public, elle se généralise en France avec la réforme, au XVIIIe siècle,
de l’enseignement médical obligeant tout étudiant à pratiquer
l’ouverture de corps. Qui manquaient parfois
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